Marie Jaëll’s ultimate quest appears to be the divine spark. However, it is important to maintain objectivity and avoid subjective evaluations. The text suggests that her complicity with Franz Liszt was a catalyst for her success, as he once said, ‘a man’s name and your scores would be on every music stand’.
Célia Oneto Bensaid’s third album on the NoMadMusic label features the early concertos of two composers and pianists, accompanied by the Orchestre national d’Avignon-Provence under the baton of Débora Waldman. The album aims to bring musical heritage into the spotlight by showcasing the mutual esteem and incredible virtuosity of the two composers.
A l’occasion de la sortie du premier album de concertos de la pianiste Célia Oneto Bensaid, focus sur le premier concerto de Marie Jaëll à réécouter sur France Musique.
“[Le toucher de Célia Oneto Bensaid] prodigue avec sûreté toutes les subtilités et intonations que son instrument permet […] Sa lecture est affirmée, soutenue, son doigté précis et infaillible. Un travail d’orfèvre en symbiose avec la baguette habile et intelligente de Deborah Waldman dans sa direction de l’Orchestre National d’Avignon-Provence […]. Indéniablement, un tout homogène avec une pianiste remarquable qui suscite l’admiration […] Grisant…”
“L’interprétation de Célia Oneto Bensaid […] semble une évidence tant la pianiste fait corps avec l’univers de la compositrice. L’autre intérêt du disque est de mettre le concerto en regard du tout premier de monsieur Liszt, bien plus connu (il l’a composé 30 ans plus tôt). Célia Oneto Bensaid s’y montre à nouveau une redoutable interprète prêt à mordre et à caresser. Avec une parfaite maîtrise de la virtuosité et un sens de l’intériorité, elle épouse la phrase de Liszt qu’elle défend avec le même engagement. Mais voilà… l’auditeur qui garde le Jaëll dans l’oreille n’a qu’une envie, y retourner !”
La pianiste était l’invitée du micro de Charlotte Latour, pour parler de la sortie de son premier album de concertos, dédié à Marie Jaëll et Franz Liszt.