Aya Okuyama, pianiste et pianofortiste, se passionne pour les instruments historiques et plus particulièrement ceux fabriqués par Pleyel entre 1831 et 1849, durant « la période Chopin ». Elle s’applique à retrouver leur « corps sonore » en abordant le jeu non comme l’adaptation d’un langage venu du piano moderne, mais comme une réappropriation des anciens claviers. Choisissant d’excellents instruments, elle retrouve l’empreinte originelle des choix de ce grand facteur : légèreté du toucher, profondeur et douceur extrême.
Régulièrement invitée à donner récitals et concerts de musique de chambre, Aya parcourt l’Europe et se rend fréquemment au Japon.
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