20/09/2024

Bruckner, Martin : Une messe imaginaire

Spirito, dir. Nicole Corti

L’œuvre foisonnante d’Anton Bruckner, trop souvent circonscrite à ses monumentales neuf symphonies, est marquée par l’expression de sa profonde foi catholique. La même foi anime Frank Martin dans sa célèbre Messe pour double chœur, ici entrelacée aux motets a cappella de Bruckner dans une Messe imaginaire proposée par Nicole Corti à la tête de son chœur Spirito.

Avec

Revue de presse

3 étoiles Classica pour « Une Messe imaginaire »

« A la seule lecture du programme de cette Messe imaginaire conçue par Nicole Corti, on s’interrogeait sur l’irruption des motets du très catholique Bruckner entre les différentes parties de la Messe à double chœur du très calviniste Frank Martin. A l’audition pourtant, ces univers en théorie très dissemblables se côtoient harmonieusement. […] La ferveur simple convoquée par l’auteur de Golgotha dans les années 1920 est bien rendue par une battue souple et régulière à la fois, calibrée à merveille pour l’écriture ».

MusicWeb International conquis par l’album de Spirito

« Under director Corti, the joint forces of Chœur Spirito and Jeune Chœur symphonique recorded four of Bruckner’s motets […] The singing is of such high quality that I am disappointed further Bruckner motets have not been included. […] This is an absorbing performance of music of a stark beauty and I appreciate the choir’s palpable devotion. […] these are compelling performances which embrace the spirituality of the sacred texts. »

5 croches décernées par Pizzicato Magazine

« Nicole Corti and her remarkable Ensemble Spirito create an atmospherically flawless symbiosis without blurring either Bruckner’s or Martin’s own handwriting. […] Spirito invites us to an inspiring encounter between two composers that we would not necessarily have expected »

Superbe critique sur Planet Hugill

« Magical moments as the French choir Spirito joins forces with its youth choir for a programme of Bruckner motes and Frank Martin’s mass […] The combination of the adult and the young voices brings a lovely focus and clarity to the sound of Bruckner’s Ave Maria, the lower voices adding real warmth. Yet when the climax comes, the sound is admirably focused »