"L’interprétation d’Amanda Favier est malicieuse à souhait, au point que son instrument en arrive à se confondre dans le suraigu avec un harmonica de verre ! […] Riche en effets spectaculaires qu’Adrien Perruchon restitue sans exagération à la tête d’un orchestre gourmand, le concerto de Corigliano vaut à Amanda Favier une performance d’équilibriste, tant pour une technique de haut vol que pour une esthétique toujours en mutation."
Par Pierre Gervasoni, Le Monde
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