« L’interprétation de Célia Oneto Bensaid […] semble une évidence tant la pianiste fait corps avec l’univers de la compositrice. L’autre intérêt du disque est de mettre le concerto en regard du tout premier de monsieur Liszt, bien plus connu (il l’a composé 30 ans plus tôt). Célia Oneto Bensaid s’y montre à nouveau une redoutable interprète prêt à mordre et à caresser. Avec une parfaite maîtrise de la virtuosité et un sens de l’intériorité, elle épouse la phrase de Liszt qu’elle défend avec le même engagement. Mais voilà… l’auditeur qui garde le Jaëll dans l’oreille n’a qu’une envie, y retourner ! »
Classique C Cool conquis par l’album « Sparklight »
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