"Sur son Giuseppe Gagliano de 1762, [Marina Chiche], soutenue par Aurélien Pontier, ne se contente pas de la seule démonstration technique mais livre une interprétation où le lyrisme à fleur de peau (…), l’élégance Mitteleuropa (…) et la nostalgie (…) le disputent à la tendresse juvénile."
Par Michel Le Naour, Classica (juin 2020)