06/12/2024

Paganini: 24 Caprices

François Sochard

Since their inaugural presentation, Paganini’s Twenty-Four Caprices have consistently garnered admiration from audiences, with their mesmerizing effect attributed to the exceptional technical proficiency demanded of the performer. Conversely, it is uncommon for performers to project anything other than their own instrumental excellence, with the technical content of the performance becoming the primary focus for listeners. François Sochard, concertmaster of the Orchestre de chambre de Lausanne, has risen to the
challenge with his first solo album, which is as sensitive as it is daring.

With

Press Review

Interview par Altea Media

A l’occasion de la sortie de son album solo “Paganini : 24 Caprices”, François Sochard évoque la genèse de son projet d’enregistrement au micro de Michel Swierczewski.

L’album solo de François Sochard à l’honneur sur Musique Matin

“François Sochard offre une interprétation captivante : non seulement il maîtrise les aspects techniques, ce qui est impressionnant, mais il met aussi en avant toute la richesse expressive de ces Caprices. Chaque pièce devient une histoire, un moment de musique. Une belle façon de (re)découvrir ces chefs-d’œuvre de Paganini, portés par une interprétation à la fois virtuose et musicale.”

5 étoiles Classica pour les Caprices de Paganini de François Sochard

“Avec cette audacieuse intégrale des Caprices, François Sochard fait preuve non seulement d’une solide maîtrise, mais également d’un goût certain pour la fantaisie, sortant volontiers des sentiers battus au gré d’une inspiration imaginative […] Son jeu captive par sa personnalité autant que par sa précision d’archet ou par un souci constant du beau son […] François Sochard relève superbement le défi avec une manière personnelle de mêler invention et virtuosité”

Utmisol conquis par l’album “Paganini : Caprices” de François Sochard

“François Sochard nous livre ici le magnifique résultat de ces travaux d’Hercule. L’image de Paganini et de son œuvre est, comme on l’a vu, très fortement connotée comme essentiellement virtuose, spectaculaire et demandant de la part de l’interprète des capacités techniques hors-normes. Mais François Sochard atteint un autre exploit: celui de nous émouvoir par une interprétation dont la musicalité prend souvent le pas sur la virtuosité. En effet, en l’écoutant, on reste bien entendu ébahi de la performance technique. Mais on se laisse prendre par les rythmes de danses, les longues mélodies en octave et les moments les plus virtuoses évitent l’emphase et la grandiloquence. […] Une très belle réussite.”